
15 choses à savoir pour que vos clients paient à temps
Cet article reprend l’ensemble des articles de Thierry Goemans consacrés à l’art de se faire payer par les clients, de les relancer et de faire du recouvrement de créances.
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Cet article reprend l’ensemble des articles de Thierry Goemans consacrés à l’art de se faire payer par les clients, de les relancer et de faire du recouvrement de créances.
Ce 16ème et dernier article de notre série sur l’art de se faire payer explique comment mesurer la sinistralité clients afin d’améliorer la gestion du poste clients et de prendre les mesures qui s’imposent pour anticiper et remédier aux risques de retard de paiement ou de créances irrécouvrables. On va parler clients douteux et provisions pour dépréciation de créances commerciales.
Ce 10ème article de notre série « l’art de faire payer les clients » est consacré à la limitation du risque-clients et à la définition d’une politique de crédit clients propre à prévenir et remédier aux impayés et aux retards de paiement. Il s’agit d’adopter une procédure réfléchie pour couper l’herbe sous le pied aux mauvais payeurs.
Ce 9ème article de notre série « l’art de faire payer les clients » explique qu’une procédure de gestion du crédit clients digne de ce nom commence par le fait de cadrer la relation commerciale avant même d’avoir travaillé avec un acheteur.
Ce sont vos Conditions Générales de Ventes qui indiquent formellement à vos clients, le cadre général de des relations commerciales avec votre entreprise.
Cet article de notre série « l’art de faire payer les clients » est consacré au délai maximum qui peut s’écouler entre la délivrance d’une facture par un professionnel et l’encaissement de la somme due, autrement dit « le délai de paiement » ou encore la « durée du crédit accordé aux clients ». La Loi de Modernisation de l’Economie applicable depuis 2008 a raccourci la période moyenne de recouvrement des créances clients d’une dizaine de jours.
Dans ce cinquième article de notre série consacrée à l’art de faire payer les clients, nous tordons le cou à la croyance qui veut que le coût d’une créance clients définitivement impayée ne coûte pas plus au vendeur que le montant nominal de la facture devenue irrécouvrable.