15 choses à savoir pour que vos clients paient à temps
Cet article reprend l’ensemble des articles de Thierry Goemans consacrés à l’art de se faire payer par les clients, de les relancer et de faire du recouvrement de créances.
Optimisez votre gestion
Cet article reprend l’ensemble des articles de Thierry Goemans consacrés à l’art de se faire payer par les clients, de les relancer et de faire du recouvrement de créances.
Ce 16ème et dernier article de notre série sur l’art de se faire payer explique comment mesurer la sinistralité clients afin d’améliorer la gestion du poste clients et de prendre les mesures qui s’imposent pour anticiper et remédier aux risques de retard de paiement ou de créances irrécouvrables. On va parler clients douteux et provisions pour dépréciation de créances commerciales.
Le client est roi mais le manque de liquidités est un mal mortel pour votre organisation.
Entre ces deux réalités, le chargé de recouvrement doit être diplomate et appliques les techniques de recouvrement de créances commerciales avec discernement, dans le respect des procédures et de la politique de crédit clients de l’entreprise.
Dans ce septième article de notre série consacrée à l’art de faire payer, j’aborde l’indemnité forfaitaire pour frais de recouvrement. Comme son nom l’indique, ce forfait de 40 euros est une participation du débiteur en retard aux frais de recouvrement de créance que le vendeur est obligé d’exposer pour relancer son client.
Ce 9ème article de notre série « l’art de faire payer les clients » explique qu’une procédure de gestion du crédit clients digne de ce nom commence par le fait de cadrer la relation commerciale avant même d’avoir travaillé avec un acheteur.
Ce sont vos Conditions Générales de Ventes qui indiquent formellement à vos clients, le cadre général de des relations commerciales avec votre entreprise.
Dans ce cinquième article de notre série consacrée à l’art de faire payer les clients, nous tordons le cou à la croyance qui veut que le coût d’une créance clients définitivement impayée ne coûte pas plus au vendeur que le montant nominal de la facture devenue irrécouvrable.
Dans ce quatrième article du feuilleton hebdomadaire sur “l’art de faire payer les clients”, nous disons bien sûr que les actions recouvrement et de relance servent à faire rentrer la recette des ventes dans vos caisses. Mais, outre l’optimisation du poste clients, une relance adroitement menée peut aussi aboutir à des bénéfices inattendus, pour le vendeur qui réclame son argent.
Pour ce troisième article de ce feuilleton hebdomadaire sur “l’art de faire payer les clients”, consacré à la « politique de crédit client » évoquons le danger que représente le manque de trésorerie pour celui qui subit des débiteurs défaillants et pour les mauvais payeurs eux-mêmes.
Quelles sont donc les conséquences de paiements tardifs, voire des défauts de paiement sur les liquidités disponibles pour exploiter vos affaires ?
Pour le deuxième volet de cette série feuilleton sur « l’art de faire payer les clients », prenons connaissance de quelques chiffres : ces statistiques concernant les retards de paiement vont vous permettre de comparer votre balance âgée clients avec les habitudes de règlement constatées ailleurs.